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Nouveau-né à risque élevé
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La naissance d’un nouveau-né est une période joyeuse et passionnante. Cependant, parfois, un bébé naît avec des complications qui nécessitent des soins médicaux spéciaux. Les nouveau-nés peuvent avoir des difficultés associées aux complications de la grossesse, au développement du fœtus ou liées au travail et à l’accouchement. Certains de ces nouveau-nés sont à haut risque de problèmes de développement à mesure qu’ils vieillissent. Heureusement, les soins spécialisés et les progrès de la technologie médicale peuvent aider à améliorer la santé d’une mère nouveau-né à risque élevé. Les bébés ont beaucoup plus de chance de survivre et d’avoir des résultats favorables que jamais auparavant.
Aperçu pour parents
Les progrès de la médecine ont permis à plus de nouveau-nés de survivre jusqu’à l’âge adulte que jamais auparavant.
Le développement du cerveau s’accélère rapidement au cours du troisième trimestre de la gestation. Les nourrissons nés tôt sont vulnérables à un développement cérébral altéré ou à une lésion cérébrale.
Les lésions cérébrales sont plus fréquentes chez les nourrissons extrêmement prématurés nés avant l’âge de 27 à 28 semaines de gestation, au début du troisième trimestre.
Les nouveau-nés nés à terme peuvent également présenter un risque élevé de développer des problèmes de développement si leur cerveau ne s’est pas développé de manière optimale pendant la grossesse ou si le bébé a été exposé à une lésion cérébrale.
Les progrès actuels de l’imagerie cérébrale avec l’IRM facilitent la reconnaissance des anomalies cérébrales, ce qui permet de cibler les nouveau-nés et les enfants pour un traitement de soutien et de protection approprié et des interventions thérapeutiques précoces pour maximiser leurs résultats développementaux.
Aperçu pour cliniciens
L’identification précoce des nouveau-nés à risque est importante car elle permet une intervention alors que le système nerveux central forme encore de nouvelles connexions et se réorganise.
Le traitement précoce est plus efficace pour influencer les résultats à long terme que le traitement qui commence après la première présentation de l’incapacité neurodéveloppementale, qui est souvent d’environ deux ans ou même plus tard.
Les études d’imagerie devraient examiner attentivement les ganglions de la base et le cervelet en plus des structures corticales et sous-corticales, en tant que zones vulnérables aux lésions cérébrales.
Cette étude a examiné la précision de l’IRM du fœtus dans le diagnostic de l’hypoplasie vermienne inférieure isolée et a décrit le résultat du développement après la naissance.
Les auteurs ont mis au point un modèle original de lésions cérébrales néonatales chez le rat qui reproduit la combinaison d’insultes infectieuses qui sont préjudiciables au cerveau pendant la période néonatale chez l’homme.
Bien qu’ils aient des pronostics et des protocoles de traitement très différents, il est difficile de distinguer l’infection entérovirale de la lymphohistiocytose hémophagocytaire (HLH). Le traitement de la HLH comporte des risques élevés, en particulier chez les nouveau-nés, c’est pourquoi les médecins doivent faire preuve d’une extrême prudence lorsqu’ils effectuent le diagnostic et la décision de procéder à son traitement.
L’accident ischémique artériel (AIS) se produit lorsque le flux sanguin vers le cerveau est bloqué.La thérapie anticoagulante (ACT), qui aide à prévenir les caillots sanguins, est souvent utilisée pour traiter les adultes atteints d’AIS.
L’objectif principal de cette étude était de savoir si la mesure clinique appelée évaluation
neurocomportementale des prématurés mesure les attributs des prématurés qu’elle prétend mesurer
(c’est-à-dire le statut neurocomportemental).
Les enfants nés prématurément risquent de souffrir de retards de développement et de difficultés scolaires en âge de scolarité. Cette étude a révélé que les enfants nés prématurément avaient une lisibilité nettement plus faible et des notes de vitesse plus lentes pour la plupart des tâches d’écriture manuscrite, par rapport à leurs pairs.
Le cervelet des prématurés semble moins bien développé que celui des enfants en santé nés à terme. Un retard de croissance du cervelet peut être associé à des déficiences développementales ultérieures.
L’hémorragie cérébelleuse, comme d’autres traumatismes crâniens, est fréquente chez les survivants à une naissance prématurée, ce qui les met à risque de problèmes de développement. Toute étude d’imagerie doit examiner avec soin le cervelet en plus des structures corticale et souscorticale. L’hémorragie cérébelleuse est associée à une hausse de la mortalité et de la morbidité.
L’infarctus périventriculaire hémorragique chez le nourrisson prématuré est associé à un décès néonatal précoce, à des convulsions et à des atteintes motrices au long cours chez les survivants. Le recours à un indice de gravité peut permettre au clinicien de mieux conseiller les patients quant aux décisions de prise en charge et aux stratégies d’intervention précoces.
L’infarctus périventriculaire hémorragique chez le nourrisson prématuré est associé à un décès néonatal précoce, à des convulsions et à des atteintes motrices au long cours chez les survivants. Le recours à un indice de gravité peut permettre au clinicien de mieux conseiller les patients quant aux décisions de prise en charge et aux stratégies d’intervention précoces.
Les facteurs de risque d’infarctus hémorragique périventriculaire chez les prématurés sont nombreux et comprennent des facteurs liés à une conception assistée et des facteurs survenant à la fois pendant l’accouchement et peu après la naissance.
Un organisme voué à la sensibilisation à l’accouchement prématuré et à la mise en place d’une plate-forme pour l’éducation et la recherche pan-canadiennes.